Teamlog

Nom : Teamlog
Localisation : Ile-de-France
Recruteur RH : R****** S********
Recruteur Opérationnel : T****** G******
Poste : Ingénieur Étude
Tests : Connaissance en développement, SGBD, Modélisation, etc.
Nombre d'entretien : 3
Résultat des courses : Jamais recontacté, et franchement, c’est pas plus mal !

Teamlog, comment faire fuir les candidats !

Alors, concernant le mode de contact, il n’y a encore une fois rien d’extraordinaire. Ils ont trouvé mon CV sur Monster, ils m’ont envoyé un petit mail, et appelé puis demandé de nous rencontrer dans leurs locaux boulevard Pereire, si je me souviens bien.

Le premier rendez-vous, est assez classique et a lieu en compagnie de M. T****** G****** . À quelques reprises, il essaie de me casser mais je parviens à lui répondre de manière satisfaisante (faut dire que cela fait un bout temps que je suis sacrément rodé aux entretiens). Je me sors de cet entretien mais je ne suis pas spécialement emballé… (c’est un avis personnel)

J’ai un message sur mon répondeur, Mme S******* me propose un second entretien, j’accepte. Viens, le fameux rendez-vous, nous discutons des mêmes points comme pour tout autre entretien (parcours professionnel, cursus, compétences, etc.). Puis la discussion devient moins formelle, je lui pose des questions pour me renseigner et je constate encore une fois que la recruteuse n’a pas préparé son entretien. Elle me parle de la récente situation financière de la société. Elle était endettée jusqu’à pas très longtemps, les créanciers ont réduit la dette de deux tiers. En gros elle m’explique qu’ils se sont cassé la gueule avec la bulle internet qui a éclaté.

Je ressors de cet entretien avec la conviction que je n’ai pas envie de travailler pour eux, mais comme je veux à tout prix avoir un job avant la prochaine rentrée, je les garde bien au chaud en tant que roue de secours.

3^ème entretien, celui-ci a lieu avec un responsable technique qui me fait passer quelques tests dans un premier temps. Puis nous discutons un peu de tout et de rien, il m’avoue rapidement ( !) que les nouvelles recrues ne sont guère motivées, il me les montre et je constate le manque de dynamisme dans les rangs de Teamlog. Il me dit qu’ils faisaient des semaines de 70 heures et que maintenant il en a marre. Il me raconte qu’ils préfèrent faire de la prestation chez un client pour respirer un peu en dehors des locaux de sa boîte. Bref, je comprends vite que Teamlog ne sera pas une roue de secours, je ne veux pas travailler pour eux, sur ce point je suis ferme, le navire coule et je ne leur enverrai pas la bouée !